"Luck and Strange" de David Gilmour, c’est le souffle du vent sur les falaises anglaises, un disque qui vous prend par la main pour un voyage entre ciel et terre. Le maître des cordes revient ici en solitaire, laissant derrière lui l’ombre imposante de Pink Floyd. Mais ne vous y trompez pas : Gilmour n’a rien perdu de sa magie. Ce nouvel album, c’est une ode à l’introspection, un chemin de traverse où chaque note semble être un écho de l’âme.
Les guitares, on les reconnaît dès les premières mesures. Elles ne hurlent pas, elles chantent, comme un oiseau de nuit qui fend l’air. David Gilmour a toujours eu ce pouvoir, celui de suspendre le temps, et ici, plus que jamais, il nous le rappelle. Les morceaux s’enchaînent, portés par des riffs aériens, tandis que sa voix, légèrement voilée par les années, glisse doucement comme une caresse.
Mais "Luck and Strange" n’est pas qu’une simple balade nostalgique. Gilmour y tisse des atmosphères où l’on sent poindre l’étrangeté, cette impression que quelque chose nous échappe. Chaque titre est une pièce du puzzle, et à la fin, l’auditeur se retrouve face à une œuvre qui ne livre jamais toutes ses réponses. C’est un album à écouter seul, au crépuscule, quand le monde s’efface et que le son devient une conversation intime.
Un disque de Gilmour, c’est comme une peinture impressionniste : chaque coup de pinceau cache une émotion. Avec "Luck and Strange", le guitariste nous invite à un tête-à-tête délicat, envoûtant, où le silence se fait rare et précieux. Une œuvre à savourer lentement, comme un bon vin.
Les guitares, on les reconnaît dès les premières mesures. Elles ne hurlent pas, elles chantent, comme un oiseau de nuit qui fend l’air. David Gilmour a toujours eu ce pouvoir, celui de suspendre le temps, et ici, plus que jamais, il nous le rappelle. Les morceaux s’enchaînent, portés par des riffs aériens, tandis que sa voix, légèrement voilée par les années, glisse doucement comme une caresse.
Mais "Luck and Strange" n’est pas qu’une simple balade nostalgique. Gilmour y tisse des atmosphères où l’on sent poindre l’étrangeté, cette impression que quelque chose nous échappe. Chaque titre est une pièce du puzzle, et à la fin, l’auditeur se retrouve face à une œuvre qui ne livre jamais toutes ses réponses. C’est un album à écouter seul, au crépuscule, quand le monde s’efface et que le son devient une conversation intime.
Un disque de Gilmour, c’est comme une peinture impressionniste : chaque coup de pinceau cache une émotion. Avec "Luck and Strange", le guitariste nous invite à un tête-à-tête délicat, envoûtant, où le silence se fait rare et précieux. Une œuvre à savourer lentement, comme un bon vin.