"Like a Rolling Stone" n’est pas juste une chanson. C’est un coup de poing lancé dans la gueule d’une génération, un rugissement qui brise les illusions et vous secoue jusqu’à l’os. Avec sa voix râpeuse et son regard désabusé, Dylan explose l’innocence des années 60 en quatre minutes d’attaque frontale. Les accords d’orgue qui ouvrent la chanson sont comme un signal d’alarme, une mise en garde pour ce qui va suivre : une diatribe contre la fausseté, l’hypocrisie et la chute inévitable de ceux qui se sont cru invincibles.
Dylan ne chante pas, il accuse. Chaque phrase est un coup de scalpel qui déchire le voile des faux-semblants. "How does it feel?" demande-t-il, mais ce n’est pas une question, c’est un verdict. Ce morceau est le reflet d’une désillusion totale, d’un monde où les masques sont tombés et où la réalité frappe sans pitié. Le sarcasme, l’amertume, la vérité crue - tout est là, en plein visage.
Ce qui rend cette chanson si inoubliable, c’est son refus de faire des compromis. Dylan ne cherche pas à plaire, il cherche à déranger, à réveiller. "Like a Rolling Stone" n’est pas seulement une chanson, c’est un manifeste. C’est la chute des idoles et l’ascension de l’individu face à un monde sans repères. Une fois qu’on l’a entendue, on ne l’oublie jamais. C’est un écho qui résonne encore aujourd’hui, brutal et indomptable.
Dylan ne chante pas, il accuse. Chaque phrase est un coup de scalpel qui déchire le voile des faux-semblants. "How does it feel?" demande-t-il, mais ce n’est pas une question, c’est un verdict. Ce morceau est le reflet d’une désillusion totale, d’un monde où les masques sont tombés et où la réalité frappe sans pitié. Le sarcasme, l’amertume, la vérité crue - tout est là, en plein visage.
Ce qui rend cette chanson si inoubliable, c’est son refus de faire des compromis. Dylan ne cherche pas à plaire, il cherche à déranger, à réveiller. "Like a Rolling Stone" n’est pas seulement une chanson, c’est un manifeste. C’est la chute des idoles et l’ascension de l’individu face à un monde sans repères. Une fois qu’on l’a entendue, on ne l’oublie jamais. C’est un écho qui résonne encore aujourd’hui, brutal et indomptable.