Cet album, c’est comme une explosion contrôlée. Une détonation orchestrée par des mecs persuadés d’être des demi-dieux, mais avec suffisamment de doute pour rendre le tout humain, viscéral, et profondément imparfait. C’est l’un des rares albums qui vous frappe en plein cœur et tête, et vous laisse titubant, pris entre l’euphorie et la mélancolie.
Des hymnes comme "Wonderwall" sont sur toutes les lèvres, mais derrière cette façade de rock-star arrogante, il y a une émotion brute qui découle de l’âme du gamin rêveur, celui qui croit encore que tout est possible si la guitare est bien accordée et que les paroles touchent juste. Et c'est là que réside toute la contradiction. Oasis, c'est à la fois colossal et fragile, arrogant mais désespéré. Vous entendez l'ambition délirante de devenir les prochains Beatles tout en percevant la douce tristesse de quelqu’un qui sait que ce rêve est peut-être hors de portée.
Et puis il y a "Don't Look Back in Anger", ce morceau qui donne l’impression qu’on peut tout surmonter, que les cicatrices sont belles à condition qu’on les embrasse. Mais bordel, quelle ironie quand on pense à l'amertume qui bouillonne juste sous la surface ! Chaque note, chaque ligne, c'est une lutte entre l’optimisme béat et un cynisme rampant, et c'est exactement ce qui rend cet album si foutrement addictif.
Avec "Morning Glory", Oasis n’a pas seulement encapsulé une époque, ils ont capturé le chaos d’être jeune, vivant, et imparfait dans un monde qui, lui, n’a jamais promis d’être mieux.
Des hymnes comme "Wonderwall" sont sur toutes les lèvres, mais derrière cette façade de rock-star arrogante, il y a une émotion brute qui découle de l’âme du gamin rêveur, celui qui croit encore que tout est possible si la guitare est bien accordée et que les paroles touchent juste. Et c'est là que réside toute la contradiction. Oasis, c'est à la fois colossal et fragile, arrogant mais désespéré. Vous entendez l'ambition délirante de devenir les prochains Beatles tout en percevant la douce tristesse de quelqu’un qui sait que ce rêve est peut-être hors de portée.
Et puis il y a "Don't Look Back in Anger", ce morceau qui donne l’impression qu’on peut tout surmonter, que les cicatrices sont belles à condition qu’on les embrasse. Mais bordel, quelle ironie quand on pense à l'amertume qui bouillonne juste sous la surface ! Chaque note, chaque ligne, c'est une lutte entre l’optimisme béat et un cynisme rampant, et c'est exactement ce qui rend cet album si foutrement addictif.
Avec "Morning Glory", Oasis n’a pas seulement encapsulé une époque, ils ont capturé le chaos d’être jeune, vivant, et imparfait dans un monde qui, lui, n’a jamais promis d’être mieux.