"Stairway to Heaven", c’est ce morceau qui ne te laisse jamais intact. Il commence comme une brise légère, une douce caresse acoustique. Mais ne te laisse pas berner par cette innocence. Dès les premières notes, tu sens quelque chose d’immense se préparer, comme si la mélodie portait déjà le poids d’une promesse qu’elle ne peut contenir. C’est ça, la magie – ou l’illusion – de cette chanson. Robert Plant susurre des paroles mystérieuses, poétiques, mais déconcertantes. Qui est cette femme qui achète un escalier vers le paradis ? Pourquoi une quête spirituelle se mêle-t-elle à l’avidité ?
La progression du morceau est une montée. On grimpe, on attend. Chaque note de Jimmy Page nous pousse plus loin, mais tout en maintenant une tension. Puis, ça explose. Cette guitare électrique qui déchire le ciel. C’est une libération, presque une rédemption. Mais est-ce vraiment ça ? Ou est-ce juste une autre illusion, un paradis que l’on rêve sans jamais atteindre ?
Led Zeppelin t’emmène dans un voyage émotionnel, mais te laisse aussi sur le bord d’une falaise, questionnant le sens même de ce que tu viens de vivre. La beauté se mêle à la frustration. Peut-être est-ce là la force de "Stairway to Heaven" : un sommet musical qui te fait planer, mais avec cette étrange sensation d’avoir été dupé.
La progression du morceau est une montée. On grimpe, on attend. Chaque note de Jimmy Page nous pousse plus loin, mais tout en maintenant une tension. Puis, ça explose. Cette guitare électrique qui déchire le ciel. C’est une libération, presque une rédemption. Mais est-ce vraiment ça ? Ou est-ce juste une autre illusion, un paradis que l’on rêve sans jamais atteindre ?
Led Zeppelin t’emmène dans un voyage émotionnel, mais te laisse aussi sur le bord d’une falaise, questionnant le sens même de ce que tu viens de vivre. La beauté se mêle à la frustration. Peut-être est-ce là la force de "Stairway to Heaven" : un sommet musical qui te fait planer, mais avec cette étrange sensation d’avoir été dupé.