Écouter Electric Ladyland, c’est plonger dans un kaléidoscope où le génie de Jimi Hendrix éclate comme une supernova. Sorti en 1968, ce troisième et dernier album de The Jimi Hendrix Experience n’est pas qu’un disque : c’est une expérience totale, une traversée mystique où chaque note semble suspendue dans l’éther. Hendrix ne se contente pas de jouer de la guitare, il sculpte le son, déploie des paysages émotionnels d’une richesse inouïe et redéfinit les limites mêmes de ce qu’un album rock peut être.
Dès les premières notes de "And the Gods Made Love", on comprend que l’on ne joue plus sur le même terrain. La production, supervisée par Hendrix lui-même, est audacieuse, presque chaotique. Les couches sonores se superposent, tournoient et s’évaporent (..…) ⇥ Article et Playlist exclusifs avec le ZikPass.
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Dès les premières notes de "And the Gods Made Love", on comprend que l’on ne joue plus sur le même terrain. La production, supervisée par Hendrix lui-même, est audacieuse, presque chaotique. Les couches sonores se superposent, tournoient et s’évaporent (..…) ⇥ Article et Playlist exclusifs avec le ZikPass.
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