Si vous n'avez jamais été aspiré dans le vortex cosmique qu'est Electric Ladyland, arrêtez tout. Prenez cet album comme une relique sacrée : c’est un monde sonore en expansion constante, un laboratoire d’expérimentations où Jimi Hendrix, tel un alchimiste, transforme le rock en une nouvelle matière vivante.
En 1968, Hendrix n'était plus juste un prodige de la guitare : il était un architecte sonore. Sous sa direction, les studios sont devenus des champs de bataille où les frontières entre la technique et l’intuition éclataient en mille morceaux. Écoutez l’ouverture de “...And the Gods Made Love” : un chaos cosmique... ⇥ Article réservé aux abonnés
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
🫵 Envie de lire la suite, d'enrichir votre discothèque et de découvrir de nouvelles pépites musicales ?
Essayez gratuitement notre abonnement pendant 7 jours. Vous ne le regretterez pas !
🌐 www.patreon.com/TheBestOfMusic
En 1968, Hendrix n'était plus juste un prodige de la guitare : il était un architecte sonore. Sous sa direction, les studios sont devenus des champs de bataille où les frontières entre la technique et l’intuition éclataient en mille morceaux. Écoutez l’ouverture de “...And the Gods Made Love” : un chaos cosmique... ⇥ Article réservé aux abonnés
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
🫵 Envie de lire la suite, d'enrichir votre discothèque et de découvrir de nouvelles pépites musicales ?
Essayez gratuitement notre abonnement pendant 7 jours. Vous ne le regretterez pas !
🌐 www.patreon.com/TheBestOfMusic