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Certaines œuvres transcendent leur époque, et "Led Zeppelin IV" en fait indéniablement partie. Ce disque, sorti en 1971, représente bien plus qu'une simple collection de morceaux. C'est un voyage sonore, une déclaration audacieuse d'un groupe à son apogée, réinventant à la fois le rock et eux-mêmes. Dès les premières notes de "Black Dog", l'auditeur est capté par l'énergie brute du riff de guitare de Jimmy Page, tandis que la voix de Robert Plant, sauvage et sensuelle, élève la tension.
Puis arrive "Rock and Roll", un hommage aux racines mêmes du genre, avec John Bonham frappant ses tambours comme un forgeron inspiré. Mais ce qui suit est un virage inattendu. Avec "The Battle of Evermore", le groupe plonge dans des contrées plus mystiques. Page, armé d'une mandoline, tisse une atmosphère éthérée tandis que Plant chante des histoires de guerre, évoquant des visions de Tolkien. Un instant de grâce avant le monument.
"Stairway to Heaven". Il y a des chansons, et il y a des hymnes. Cette pièce mythique est une ascension lente, guidée par les arpèges délicats de Page et les paroles cryptiques de Plant. Elle nous emmène du rêve au chaos dans une explosion électrique.
Mais ce n’est pas fini. "Misty Mountain Hop" et "Four Sticks" explorent de nouveaux territoires rythmiques, tandis que "Going to California" ramène l'auditeur à la simplicité, la beauté acoustique d’une quête personnelle.
Et enfin, il y a "When the Levee Breaks". Une tempête, une apocalypse blues qui rappelle à tous que Led Zeppelin n’est pas un simple groupe, mais une force élémentaire. "Led Zeppelin IV" est une pierre angulaire, intemporelle, ancrée dans l’histoire du rock, mais toujours aussi vibrante aujourd’hui.
Puis arrive "Rock and Roll", un hommage aux racines mêmes du genre, avec John Bonham frappant ses tambours comme un forgeron inspiré. Mais ce qui suit est un virage inattendu. Avec "The Battle of Evermore", le groupe plonge dans des contrées plus mystiques. Page, armé d'une mandoline, tisse une atmosphère éthérée tandis que Plant chante des histoires de guerre, évoquant des visions de Tolkien. Un instant de grâce avant le monument.
"Stairway to Heaven". Il y a des chansons, et il y a des hymnes. Cette pièce mythique est une ascension lente, guidée par les arpèges délicats de Page et les paroles cryptiques de Plant. Elle nous emmène du rêve au chaos dans une explosion électrique.
Mais ce n’est pas fini. "Misty Mountain Hop" et "Four Sticks" explorent de nouveaux territoires rythmiques, tandis que "Going to California" ramène l'auditeur à la simplicité, la beauté acoustique d’une quête personnelle.
Et enfin, il y a "When the Levee Breaks". Une tempête, une apocalypse blues qui rappelle à tous que Led Zeppelin n’est pas un simple groupe, mais une force élémentaire. "Led Zeppelin IV" est une pierre angulaire, intemporelle, ancrée dans l’histoire du rock, mais toujours aussi vibrante aujourd’hui.
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